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(Ebook) Le Monument aux morts, Documentaire illustré Jeunesse, de Karim Urbain da Silva illustré par Jeki Esso, Dagan Jeunesse (Fichier Epub)

(Ebook) Le Monument aux morts, Documentaire illustré Jeunesse, de Karim Urbain da Silva illustré par Jeki Esso, Dagan Jeunesse (Fichier Epub)

Prix habituel $8.00 USD
Prix habituel Prix soldé $8.00 USD
En vente Épuisé

Titre:  Le Monument aux morts (version Ebook)

Genre : Documentaire, illustré Jeunesse,

Auteur Karim Urbain da Silva

Illustratrice: Jeki Esso

Editeur: Dagan Jeunesse

Format: Fichier Epub. Un lecteur de ebooks au format epub doit etre préalablement installé sur votre ordinateur, tablettre ou téléphone.

 

L'HISTOIRE

Résumé

Connais-tu l’histoire qui se cache derrière le monument aux morts de la capitale du Bénin, Porto-Novo ?

Cet ouvrage informatif et t’en parle !


Karim da Silva et Jeki Esso offrent aux jeunes lecteurs ce poignant récit sur le monument historique  érigé à l'époque coloniale en souvenir des Dahoméens qui ont combattu pour la France lors des deux guerres mondiales.

Le monument, « Aux enfants du Dahomey morts pour la France pendant la guerre de 1914 à 1918 et 1939-1945 », a été rebaptisé  « Aux enfants du Bénin morts pour la liberté» après que le Dahomey soit devenu le Bénin. Et l'auteur, le Doyen Karim Urbain da Silva, demande aux autorités béninoises de réattribuer au monument son ancien nom. Pourquoi? La reponse est dans le livre...

 

Extrait :

Le grand frère de mon père, mon oncle, monsieur Marcellin da Silva a été grièvement blessé au front le 12 septembre 1918 et est décédé un mois après, c’està-dire le 12 octobre 1918 des suites de ses blessures, soit encore un mois avant l’armistice intervenue le
11 novembre 1918.


Au cours de mon jeune âge, j’ai remarqué tous les 13 juillet au soir, veille de la fête nationale française du 14 juillet, l’arrivée d’un ou deux gardes-cercle venir allumer dans l’arrière-cour de notre grand-mère, une flamme qui brûlait très lentement jusqu’à s’éteindre toute seule tardivement comme une bougie.


Je devais comprendre plus tard que c’était à la mémoire de mon oncle Marcellin da Silva mort pour la France...

 

 

 

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